- consultations et suivis de naturopathie
- séances de réflexologie plantaire
- séances de réflexologie faciale et crânienne (Dien Cham).
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Questions fréquentes
Les réponses à vos questions
C'est quoi la naturopathie ?
L'OMS (Organisation Mondiale de la Santé) définit la naturopathie comme étant un "ensemble de techniques visant à renforcer les défenses de l'organisme par des moyens naturels et biologiques".
La naturopathie est une médecine non conventionnelle qui aide notre organisme à favoriser par lui-même un état de "santé optimale".
Les piliers de la naturopathie sont :
- l'alimentation
- l'hygiène émonctorielle
- l'exercice physique
- la gestion psycho-émotionnelle
Quelles sont les solutions proposées par la naturopathie ?
Dans la "boîte à outils" du naturopathe, les techniques sont nombreuses :
- Phytothérapie & aromathérapie : utilisation des plantes et des huiles essentielles
- Techniques réflexes : réflexologie plantaire, palmaire, faciale.
- Hydrologie, argilothérapie, apithérapie, oligothérapie.
- Techniques respiratoires, manuelles.
Et bien d'autres encore !
Chaque praticien a ses spécialités.
Quelle différence entre un naturopathe et un médecin ?
> Un naturopathe n'est pas un médecin, ne fait pas de diagnostic et ne prescrit pas.
> Un naturopathe est un éducateur de santé, qui fait un bilan de vitalité et qui remet une fiche-conseils.
La naturopathie ne remplace pas la médecine allopathique.
La naturopathie soutient l'allopathie, agit en complément.
La naturopathie est une collaboration.
Comment reconnaître un naturopathe de qualité ?
En France, le métier de naturopathe est une "profession non réglementée".
S'il n'existe donc pas de diplôme reconnu par l’État, il est préférable de choisir un praticien qui s'est formé dans une école qui délivre une attestation de formation.
Grande écoute, compréhension, ouverture d'esprit et patience sont parmi les qualités indispensables.
Un naturopathe a conscience de ses limites, ne se prend pas pour un médecin et ne procède à aucun « acte médical » au sens des articles L 372 et L 4161-1 du Code de la Santé publique.